Audiovisuel public
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Audiovisuel public
Il semble que - selon certains commentateurs - le projet de loi sur la télévision publique - qui s'appliquerait à partir du 1er janvier 2009 - priverait celle-ci des recettes de la publicité (manque à gagner: 450 millions d'euros selon certaines estimations).
En contrepartie, une taxe sur le chiffre d'affaires des opérateurs de téléphonie et fournisseurs d'accès à internet, d'un taux de 0,9% serait mise en place (recettes publiques estimées: 380 millions d'euros).
Ce financement affecté semble prêter le plan à quelques contestations sur le plan constitutionnel. Sur le plan de la règlementation européenne, il n'est pas garanti qu'il obtienne le feu vert de la Commission Européenne.
Le Président de la République a annoncé récemment que l'Etat verserait par ailleurs une subvention supplémentaire et ponctuelle à France Télévisions.
Enfin, une taxe de 3% sur le chiffre d'affaires publicitaire des chaînes privées serait mise en place, pour un gain estimé à 80 millions d'euros. Cette taxe déclenche cependant l'opposition des contributeurs qui pourraient avancer les mêmes arguments constitutionnels notamment.
Au final, il est à craindre que le volet recettes de ce nouveau cadre de fonctionnement de la télévision publique ne puisse pas entrer en application, alors que la baisse des recettes publicitaires seraient effectivement intervenue. En effet, les analyses de certains organismes chiffrent le gain de cette mesure à 600 millions d'euros par an pour les opérateurs privés à partir de 2012, et la moitié jusqu'à cette date.
Cette réforme du financement de la télévision publique pourrait donc être à l'origine d'un transfert pur et simple de la richesse publique vers la richesse privée.
La contrepartie en terme d'emplois ou de développement économique n'est par ailleurs pas évidente.
Il serait nécessaire que cette question trouve un écho parmi nos concitoyens, et qu'un débat soit ouvert sur cette question.
Au délà, il me paraitrait nécessaire, puisque l'évaluation est une notion à la mode, que ce type de mesure qui entraine une baisse des recettes publiques fasse l'objet - avant son application - d'une évaluation de ses conséquences possibles.
Cordialement
En contrepartie, une taxe sur le chiffre d'affaires des opérateurs de téléphonie et fournisseurs d'accès à internet, d'un taux de 0,9% serait mise en place (recettes publiques estimées: 380 millions d'euros).
Ce financement affecté semble prêter le plan à quelques contestations sur le plan constitutionnel. Sur le plan de la règlementation européenne, il n'est pas garanti qu'il obtienne le feu vert de la Commission Européenne.
Le Président de la République a annoncé récemment que l'Etat verserait par ailleurs une subvention supplémentaire et ponctuelle à France Télévisions.
Enfin, une taxe de 3% sur le chiffre d'affaires publicitaire des chaînes privées serait mise en place, pour un gain estimé à 80 millions d'euros. Cette taxe déclenche cependant l'opposition des contributeurs qui pourraient avancer les mêmes arguments constitutionnels notamment.
Au final, il est à craindre que le volet recettes de ce nouveau cadre de fonctionnement de la télévision publique ne puisse pas entrer en application, alors que la baisse des recettes publicitaires seraient effectivement intervenue. En effet, les analyses de certains organismes chiffrent le gain de cette mesure à 600 millions d'euros par an pour les opérateurs privés à partir de 2012, et la moitié jusqu'à cette date.
Cette réforme du financement de la télévision publique pourrait donc être à l'origine d'un transfert pur et simple de la richesse publique vers la richesse privée.
La contrepartie en terme d'emplois ou de développement économique n'est par ailleurs pas évidente.
Il serait nécessaire que cette question trouve un écho parmi nos concitoyens, et qu'un débat soit ouvert sur cette question.
Au délà, il me paraitrait nécessaire, puisque l'évaluation est une notion à la mode, que ce type de mesure qui entraine une baisse des recettes publiques fasse l'objet - avant son application - d'une évaluation de ses conséquences possibles.
Cordialement
F.GEORGES- Aubergiste du village
- Messages : 104
Date d'inscription : 28/11/2007
C'est un grand débat rempli de vide, à mon avis, ou plutôt illusion...
Mais je crois que comme tous les autres, le gouvernement ne l'aborde que superficiellement.
L'objet porte sur la suppression de la publicité sur les chaînes publiques. On peut se poser la question : Pourquoi supprimer la publicité sur les chaînes publiques ? Il n'y a déjà aucune réponse faite par le gouvernement.
Donc, en fait, comme d'habitude nous sommes noyés dans un coulis de paroles...
Une vague idée a été émise, les télévisions publiques doivent devenir plus culturelles. Et donc le fait qu'il y ait de la pub. empècherait qu'elles le deviennent ? My God ! Oui, parce que les télévisions publiques devenant plus culturelles feraient moins de parts de marchés. Les plages de pub se vendraient moins chères. Donc, pour que la pub se vende plus chère, on passe de la merde à la télé....
Voilà où nous en sommes !!!
C'est une histoire abracadabrantesque ! L'unique raison de supprimer la publicité sur les chaînes publiques après 20 heures, je le rappelle quand même, n'est que pour permettre aux chaînes privées de récupérer tout le contenu du panier de pub.
L'objet porte sur la suppression de la publicité sur les chaînes publiques. On peut se poser la question : Pourquoi supprimer la publicité sur les chaînes publiques ? Il n'y a déjà aucune réponse faite par le gouvernement.
Donc, en fait, comme d'habitude nous sommes noyés dans un coulis de paroles...
Une vague idée a été émise, les télévisions publiques doivent devenir plus culturelles. Et donc le fait qu'il y ait de la pub. empècherait qu'elles le deviennent ? My God ! Oui, parce que les télévisions publiques devenant plus culturelles feraient moins de parts de marchés. Les plages de pub se vendraient moins chères. Donc, pour que la pub se vende plus chère, on passe de la merde à la télé....
Voilà où nous en sommes !!!
C'est une histoire abracadabrantesque ! L'unique raison de supprimer la publicité sur les chaînes publiques après 20 heures, je le rappelle quand même, n'est que pour permettre aux chaînes privées de récupérer tout le contenu du panier de pub.
plumedecib- Cueilleur(euse) de mytilles
- Messages : 315
Date d'inscription : 19/09/2007
Améliorer la qualité de la TV publique
pourrait effectivement être obtenue en imposant à la chaîne publique d'affecter la totalité du produit de la publicité dans la production de programmes culturels (cinéma, émissions littéraires, artistiques,...) ou liés au patrimoine national. Il pourrait être prévu également d'étendre cette obligation à la réalisation de programmes informatifs co-produits avec certains quotidiens ou journaux par ailleurs en difficulté: information sur l'économie, sur la société, sur le droit,...
Comme ces recettes ne pourraient pas enrichir des sociétés de production fonctionnant sur le modèle privé, les chaines publiques ne seraient effectivement pas tenues de faire de l'audience, mais pourraient en faire par l'amélioration de la qualité. Je rappelle en effet que les plus gros consommateurs de produits culturels ou d'information ont généralement un pouvoir d'achat plus élevé que les autres. Je crois que BOURDIEU l'avait démontré.
De ce fait, les chaînes publiques pourraient intéresser certains annonceurs, malgré une plus faible audience numérique.
Pourquoi donc faudrait-il accepter d'appauvrir la Nation de 500 millions par an ?
Ce débat n'a-t-il donc aucun intérêt? Qu'en pensez-vous?
Comme ces recettes ne pourraient pas enrichir des sociétés de production fonctionnant sur le modèle privé, les chaines publiques ne seraient effectivement pas tenues de faire de l'audience, mais pourraient en faire par l'amélioration de la qualité. Je rappelle en effet que les plus gros consommateurs de produits culturels ou d'information ont généralement un pouvoir d'achat plus élevé que les autres. Je crois que BOURDIEU l'avait démontré.
De ce fait, les chaînes publiques pourraient intéresser certains annonceurs, malgré une plus faible audience numérique.
Pourquoi donc faudrait-il accepter d'appauvrir la Nation de 500 millions par an ?
Ce débat n'a-t-il donc aucun intérêt? Qu'en pensez-vous?
F.GEORGES- Aubergiste du village
- Messages : 104
Date d'inscription : 28/11/2007
Pourquoi une chaîne non plus basée sur un programme TF1
mais sur des programmes plus intelligents feraient-ils moins d'audience ? Moi, c'est mon plus gros problème. On l'a vu, chaque fois qu'une chaîne publique a proposé un programme plus culturel, elle a fait plus de parts de marchés que TF1 . Les gens en ont quand même marre des programmes insipides tirés des plus mauvaises chaînes de TV américaines.
Et je suis d'accord que le gros problème des chaînes publiques est d'avoir des animateurs en même temps patrons de grosses sociétés de production qui se font payer un programme une fortune...
Je crois que nous sommes à un tournant du paysage audiovisuel. La TV telle qu'elle est depuis des lustres subit le même sort que le cinéma à l'époque où elle est apparu. Aujourd'hui, nous avons des programmes à la carte, la TV par ADSL, Internet... la VOD. Les gens ont donc l'embarras du choix... Et ce ne sont pas les chaînes populistes qui font le plus d'audience....
Et je suis d'accord que le gros problème des chaînes publiques est d'avoir des animateurs en même temps patrons de grosses sociétés de production qui se font payer un programme une fortune...
Je crois que nous sommes à un tournant du paysage audiovisuel. La TV telle qu'elle est depuis des lustres subit le même sort que le cinéma à l'époque où elle est apparu. Aujourd'hui, nous avons des programmes à la carte, la TV par ADSL, Internet... la VOD. Les gens ont donc l'embarras du choix... Et ce ne sont pas les chaînes populistes qui font le plus d'audience....
plumedecib- Cueilleur(euse) de mytilles
- Messages : 315
Date d'inscription : 19/09/2007
Re: Audiovisuel public
Je propose que si la publicité passe des chaines publiques aux chaines privées, une partie des revenus de cette publicité continue d'aller vers les chaines publiques.
La culture n'est jamais rejetée. Le seul problème est qu'elle n'est que trop rarement proposée.
Les séries américaines sont bradées. Un programme culturel est plus cher. Mais qu'est-ce qui est le plus important, l'argent ou l'intelligence, le plaisir de la culture, de l'esprit. Je choisis la seconde possibilité.
La culture n'est jamais rejetée. Le seul problème est qu'elle n'est que trop rarement proposée.
Les séries américaines sont bradées. Un programme culturel est plus cher. Mais qu'est-ce qui est le plus important, l'argent ou l'intelligence, le plaisir de la culture, de l'esprit. Je choisis la seconde possibilité.
Effectivement MYCCR
Echangeons nos plages de pub ! Et payons la culture plutôt que la connerie !
plumedecib- Cueilleur(euse) de mytilles
- Messages : 315
Date d'inscription : 19/09/2007
Re: Audiovisuel public
Il est évident qu'il serait beaucoup plus intéressant de pouvoir regarder des émissions sur des écrivains, des peintres, des civilisations anciennes (encore que ça existe mais il faut bien chercher).
Oui mais voilà, monter un programme sur Voltaire, ou quelque autre philosophe des Lumières, ça veut dire quand même stimuler les neurones, voire stimuler aussi l'esprit critique.
Cet esprit n'est déjà plus stimulé au lycée, ce n'est pas pour le développer à plus grande échelle encore !
Des programmes culturels entrainent indubitablement la réflexion.
Croyez-vous que l'époque est à ce mouvement ?
Oui mais voilà, monter un programme sur Voltaire, ou quelque autre philosophe des Lumières, ça veut dire quand même stimuler les neurones, voire stimuler aussi l'esprit critique.
Cet esprit n'est déjà plus stimulé au lycée, ce n'est pas pour le développer à plus grande échelle encore !
Des programmes culturels entrainent indubitablement la réflexion.
Croyez-vous que l'époque est à ce mouvement ?
L'époque ...
L'époque dépend quand même assez largement de ce que nous en faisons collectivement.
Le destin, la fatalité de l'époque, la fatalité de l'ordre social, la main invisible ...sont autant de concepts destinés à conforter la croyance que l'action individuelle ou collective n'a pas d'utilité.
La force de cette croyance est le trait d'une société marquée par le fascisme. Remarquons d'ailleurs, que le fasciste accède généralement au pouvoir par l'exaltation de l'action. Il est à craindre par contre qu'il s'y maintienne par l'entretien de la passivité des citoyens. C'est un paradoxe de nos sociétés démocratiques.
"La fatalité n'existe pas." J'ignore si cette pensée est justifiée par les faits. Pourtant, l'observation confirme assez largement que notre société est un produit de l'histoire, et que le sens de celui-ci est assez peu apparent.
J'y vois là, une des raisons laissant présumer que l'histoire n'est pas écrite, et que nous pouvons au moins exprimer nos désaccords, même en allant éventuellement contre des préjugés, un sens présumé de l'histoire, ou l'air de l'époque.
Ce combat n'est pas un combat politique. Il est un engagement permanent pour faire que ce qui est, n'ait pas d'autre poids que celui déjà réel de la matière ou encore de la loi du plus fort.
Il faut donc sortir de nos têtes que la pauvreté est une fatalité, que le chômage est inexorable, que les valeurs humaines n'ont plus droit de cité, que la régression de la conscience politique est une donnée ...
Disons simplement que notre société a fait certains choix, qu'elle renouvelle régulièrement, et que sont entretenus des faits sociaux dont on peut légitimement remettre en question la légitimité au regard de valeurs humaines qui ont existé de tous temps, quoi que de manière inégale.
Malgré cela, la conscience et l'espoir ne sauront être définitivement abollis par une quelconque action concertée de quelques moyens de pression que ce soit, même s'ils peuvent être anesthésiés provisoirement et même s'il est possible d'envisager de les empêcher de s'exprimer.
Tel Sisyphe condamné par les dieux à pousser son rocher, la conscience conduit à questionner sans cesse la réalité de ce qui existe en la confrontant à ce qu'il serait souhaitable de voir exister...et contre cela seul, nous ne pouvons rien.
Cordialement
Le destin, la fatalité de l'époque, la fatalité de l'ordre social, la main invisible ...sont autant de concepts destinés à conforter la croyance que l'action individuelle ou collective n'a pas d'utilité.
La force de cette croyance est le trait d'une société marquée par le fascisme. Remarquons d'ailleurs, que le fasciste accède généralement au pouvoir par l'exaltation de l'action. Il est à craindre par contre qu'il s'y maintienne par l'entretien de la passivité des citoyens. C'est un paradoxe de nos sociétés démocratiques.
"La fatalité n'existe pas." J'ignore si cette pensée est justifiée par les faits. Pourtant, l'observation confirme assez largement que notre société est un produit de l'histoire, et que le sens de celui-ci est assez peu apparent.
J'y vois là, une des raisons laissant présumer que l'histoire n'est pas écrite, et que nous pouvons au moins exprimer nos désaccords, même en allant éventuellement contre des préjugés, un sens présumé de l'histoire, ou l'air de l'époque.
Ce combat n'est pas un combat politique. Il est un engagement permanent pour faire que ce qui est, n'ait pas d'autre poids que celui déjà réel de la matière ou encore de la loi du plus fort.
Il faut donc sortir de nos têtes que la pauvreté est une fatalité, que le chômage est inexorable, que les valeurs humaines n'ont plus droit de cité, que la régression de la conscience politique est une donnée ...
Disons simplement que notre société a fait certains choix, qu'elle renouvelle régulièrement, et que sont entretenus des faits sociaux dont on peut légitimement remettre en question la légitimité au regard de valeurs humaines qui ont existé de tous temps, quoi que de manière inégale.
Malgré cela, la conscience et l'espoir ne sauront être définitivement abollis par une quelconque action concertée de quelques moyens de pression que ce soit, même s'ils peuvent être anesthésiés provisoirement et même s'il est possible d'envisager de les empêcher de s'exprimer.
Tel Sisyphe condamné par les dieux à pousser son rocher, la conscience conduit à questionner sans cesse la réalité de ce qui existe en la confrontant à ce qu'il serait souhaitable de voir exister...et contre cela seul, nous ne pouvons rien.
Cordialement
F.GEORGES- Aubergiste du village
- Messages : 104
Date d'inscription : 28/11/2007
Re: Audiovisuel public
Ce que nous avons fait de la société occidentale, je crois qu'il n'y a pas de quoi se vanter.
Individualisme, consommation outrancière, argent roi, mondialisation, certains obèses parce qu'ils mangent trop, d'autres criant famine parce que ne pouvant pas vivre de leur production, pas de quoi pavoiser, d'autant que les téléspectateurs que nous sommes en puissance se donnent souvent bonne conscience en regardant les africains du Niger ou d'ailleurs souffrir de faim.
Je ne sais pas si l'histoire révèle ce qui nous attend, je sais seulement que les temps de crise laissent souvent la place à l'extrêmisme. Or nous sommes en pleine crise et pas de conscience. Dommage !
Les médias bien évidemment n'emploient pas le terme de récession, pourtant il s'agit bien de cela.
Beaucoup de domaines sont touchés aujourd'hui : l'immobilier, les places boursières, le pétrole qui augmente en continu, tous ces indices indiquent l'imminence de la grande crise, et nos gouvernants continuent de nous conduire dans le mur.
Encore une fois, j'ai dévié du fil qui était consacré à l'audiovisuel.
Pourtant ne serait-ce pas dans leurs missions de journalistes que d'ouvrir les yeux et les oreilles des lecteurs ou téléspectateurs ou auditeurs, ne serait-ce pas dans leurs missions que d'informer de façon objective, mais qui dit objectif dit que l'on regarde le sujet sous tous les angles, ne serait-ce pas dans leurs missions que d'alerter ?
Oui mais voilà, beaucoup d'entre eux préfèrent rester sur leur fauteuil et ne pas sortir trop la tête.
Individualisme, consommation outrancière, argent roi, mondialisation, certains obèses parce qu'ils mangent trop, d'autres criant famine parce que ne pouvant pas vivre de leur production, pas de quoi pavoiser, d'autant que les téléspectateurs que nous sommes en puissance se donnent souvent bonne conscience en regardant les africains du Niger ou d'ailleurs souffrir de faim.
Je ne sais pas si l'histoire révèle ce qui nous attend, je sais seulement que les temps de crise laissent souvent la place à l'extrêmisme. Or nous sommes en pleine crise et pas de conscience. Dommage !
Les médias bien évidemment n'emploient pas le terme de récession, pourtant il s'agit bien de cela.
Beaucoup de domaines sont touchés aujourd'hui : l'immobilier, les places boursières, le pétrole qui augmente en continu, tous ces indices indiquent l'imminence de la grande crise, et nos gouvernants continuent de nous conduire dans le mur.
Encore une fois, j'ai dévié du fil qui était consacré à l'audiovisuel.
Pourtant ne serait-ce pas dans leurs missions de journalistes que d'ouvrir les yeux et les oreilles des lecteurs ou téléspectateurs ou auditeurs, ne serait-ce pas dans leurs missions que d'informer de façon objective, mais qui dit objectif dit que l'on regarde le sujet sous tous les angles, ne serait-ce pas dans leurs missions que d'alerter ?
Oui mais voilà, beaucoup d'entre eux préfèrent rester sur leur fauteuil et ne pas sortir trop la tête.
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